« Je suis vivant parce que je fais des films », affirme Jafar Panahi, dissident iranien au Festival de Cannes

Frappé d’une interdiction de tournage de 15 ans par la République islamique, le cinéaste présente sur la Croisette, en compétition officielle, Un simple accident, un film exposant le dilemme moral d’Iraniens tentés de se venger de leurs tortionnaires.

May 21, 2025 - 15:10
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« Je suis vivant parce que je fais des films », affirme Jafar Panahi, dissident iranien au Festival de Cannes
Frappé d’une interdiction de tournage de 15 ans par la République islamique, le cinéaste présente sur la Croisette, en compétition officielle, Un simple accident, un film exposant le dilemme moral d’Iraniens tentés de se venger de leurs tortionnaires.