Dix Hectares : voici la nouvelle maison de beauté française à connaître
Entre beauté régénérative et excellence botanique, une nouvelle maison de beauté émerge du terroir médocain. On vous en dit plus sur Dix Hectares.

Récemment, sur les terres viticoles de l’historique Château Montrose – connu pour ses vins définis second cru depuis le classement de 1855, une prairie préservée est devenue le point de départ d’un projet singulier. Son nom : Dix Hectares. Une aventure beauté qui réinvente le soin de la peau en s’inspirant du cycle des saisons et des savoir-faire agricoles ancestraux. A sa tête, Charlotte Bouygues, qui mêle avec panache racines familiales et vision d’une cosmétique en harmonie avec le vivant. Car, pensée comme une ferme cosmétique de la taille de son propre nom, Dix Hectares cultive, extrait et formule sur place des soins entièrement d’origine naturelle. Achilée millefeuille, orge germée, consoude ou trèfle… chaque plante est cultivée à la main sur le domaine familial puis transformée via un procédé écologique d’extraction par ultrasons et solvants naturels. Cette approche biocyclique vise à respecter le microbiote cutané et à sublimer la peau en douceur, saison après saison. Faire le choix d’une agriculture régénérative, c’est s’inscrire dans une action vertueuse sur le long terme. “Aujourd’hui, il y a un vrai retour au bon sens paysan avec la volonté de travailler des sols en bonne santé, raconte Charlotte. Les sols sont les premiers puits de carbone au monde, on doit les préserver, les ré-ensauvager pour l’avenir. C’est pourquoi nous avons fait une analyse approfondie des sols, de ses nutriments etc. afin d’établir une base de données précise et de sélectionner les meilleures plantes dont ils ont besoin.”
Du champ au flacon, une beauté engagée
Les plantes sélectionnées pour leurs bienfaits sur la peau l’ont été également pour leurs actions directes sur les sols. Ainsi, le trèfle est un puissant antioxydant pour l’épiderme et également un capteur d’azote sans pareil pour l’environnement. L’objectif : réinstaller un véritable dialogue entre les plantes et les bactéries dans le sol et les soins et notre microbiote cutané. Deux mondes distincts pourtant très similaires comme se plaît à le rappeler Charlotte : “Le sol comme la peau se composent de trois couches avec un écosystème vivant et fragile qui se dérèglent avec des facteurs exogènes.” Sans compromis dans ses formules, la ligne – composée pour l’instant d’un Sérum et d’une Crème très sensoriels avec une odeur délicate et un toucher soyeux – s’illustre aussi par ses écrins. Imaginé par l’architecte d’intérieur Dorothée Meilichzon, le packaging aux accents Belle Époque se distingue à la fois par son élégance désirable et durable. Verre allégé en partie recyclé, couvercle biosourcé en Sulapac à l’effet marbré et capsules rechargeables en biorésine issue de fibres de lin, chanvre et roseau : chaque détail a été pensé pour allier innovation, esthétisme et respect de l’environnement. Une manière de prolonger le soin jusque dans l’objet.